Suite à l’explosion des prix des matières premières et aux nombreuses annonces de la Fed, les marchés semblent repartis avec l’inflation comme ultime rampe de lancement. Notre expert Philippe Béchade revient sur l’actualité boursière de la semaine.
Le bitcoin a encore repoussé les limites ce week-end et franchi une étape hautement symbolique. Dans un contexte qui frise la vaste fumisterie, souligne Philippe Béchade.
Décidément omniprésent sur la scène médiatico-financière depuis quelques semaines, Elon Musk a fait savoir que Tesla avait acquis pour plus de 1,5 Mds$ de bitcoins. De quoi susciter une nouvelle envolée de la plus célèbre des cryptomonnaies.
La nouvelle salve de records à Wall Street ne pouvait échapper à Philippe Béchade, tout comme les invraisemblables envolées de GameStop et du Dogecoin, deux actifs désespérément ordinaires. Assisterions-nous à une nouvelle version de la catastrophe des « dot.com », avec la complicité de banques centrales qui inondent les marchés de liquidités ?
Quoi qu’on puisse en penser, quelles qu’en soient les raisons, les exemples d’emballements se multiplient en ce début d’année. Même l’argent métal désormais est touché !
Derrière le bitcoin, qui reste de très loin la première monnaie virtuelle en termes de capitalisation, de petits altcoins disposent d’une marge de progression considérable.
Après de longs mois difficiles, le bitcoin est (re)devenu un actif prisé, au point de partir à l’assaut des 40 000 $. Impressionnante, l’ascension de la plus célèbre des cryptomonnaies n’est peut-être pas terminée pour autant, loin de là…
Les Bourses chinoises évoluent actuellement dans une très bonne dynamique. Entre les bonnes et les moins bonnes nouvelles, les investisseurs ont apparemment choisi…
Pour son premier article de l’année, Mathieu Lebrun souhaitait aborder la configuration à court terme du bitcoin, qui vient de flirter avec les 35 000 $. Une correction à court terme est son scénario privilégié…
Un « no deal Brexit » pourrait avoir de graves conséquences économiques, en particulier bien sûr pour le Royaume-Uni. Une perspective que les investisseurs ne considèrent pas, du moins pour le moment.