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Philippe Béchade s’inquiète des dérives sanitaires. Quel monde aurons-nous demain lorsque les marchés prendront conscience du caractère irréversible des mesures anti-Covid-19 ?

 

Le terme boursier de janvier débute par un trou d’air de 2%. Il faut dire que le contexte de retour aux confinements/couvre-feux dans plusieurs pays n’aide pas… Certains de ces pays connaissent des « vagues de contamination » supérieures à l’automne 2020 où il y avait 0% de la population vaccinée.

Plus surprenant encore, des pays où le taux de vaccination flirte avec les 100% sont contraints de supprimer les festivités de fin d’année et de rétablir des jauges pour les événements collectifs. Je pense notamment à Gibraltar où la population est vaccinée à 144% ou à l’Allemagne où les matchs se font maintenant sans spectateurs. Et dans ces cas-là, il n’existe donc plus aucun « non-Vax » irresponsable à incriminer…

Avant même la déferlante de mesures sanitaires liberticides annoncées vendredi soir ou ce week-end, la séance des 4 Sorcières du vendredi 18 ne fut pas seulement une déception (repli de 1% en moyenne de Wall Street, EuroStoxx50, CAC40…), mais aussi une anomalie pour une séance couronnant une année tonitruante sur le plan boursier. Avec 67 records historiques, à la fois pour le S&P500 et le CAC40 Global Return en 2021 et onze mois de hausse sur douze (la consolidation de juillet fut des plus marginales), 2021 obtient sa place dans le classement des meilleures années boursières derrière 1995 avec 72 records pour le S&P500), avec onze mois sur 12 de hausse.

Toutefois, les « mauvaises nouvelles » macro-économiques se sont enchaînées la semaine dernière, notamment en ce qui concerne la consommation aux Etats-Unis (3 fois plus faible qu’attendue en novembre avec +0,3%, le Black Friday n’a pas fait recette), l’inflation et le ralentissement de l’activité du secteur tertiaire en Europe.

La France n’a pas été épargnée en novembre, bien qu’elle fût moins impactée que l’Allemagne avec une chute verticale de 4,3 points du PMI des services, de 52,7 vers 48,4, liée aux mesures de freinage sanitaires.

La situation sanitaire se dégrade…

Le recul du PMI des services germaniques a été si brutal que cela a plombé l’indice PMI Flash composite de l’activité globale dans la zone Euro en décembre (-2 points, de 55,4 vers 53,4, le pire score depuis 9 mois) avec un PMI des services plongeant de 55,9 vers 53,3.

Les dernières directives d’Angela Merkel se sont soldées par des annulations de voyages d’affaires ou touristiques qui se multiplient avec la toute récente fermeture de frontières aériennes à l’encontre de certains pays sur la liste rouge… Or, le coup de frein a surtout été interne avec le confinement et la discrimination assumée des « non-vaccinés » qui annulent tous leurs loisirs. Pour le coup, c’est un peu à l’image de ce qu’il arrive à tous ces parias français du régime sanitaro-totalitaire qui se met en place, en parfaite santé, non contaminés et non-contaminants… à 99,94%).

Il convient de se souvenir qu’en France comme en Allemagne, aux « heures les plus sombres », le premier motif officiel de discrimination des juifs – bien avant les ordonnances scélérates de Vichy en juillet 1942 – et la justification de leur mort sociale fut l’abjecte accusation d’être porteurs du typhus et de menacer de répandre une pandémie parmi les « bons allemands ».

Nous savons depuis ce vendredi 18 décembre qui sont les « mauvais français », et cette stigmatisation tombe de la bouche de celui qui a dénoncé sa fille au monde entier pour l’avoir contaminé : notre Premier Ministre. Il avait auparavant administré 150 poignées de mains à des adultes qu’on ne saurait évidemment soupçonner d’être d’infâmes bombes virales comme sa fille.

Et si Jean Castex n’avait pas dénoncé sa fille, qui l’aurait fait ?

Espérons que ce courageux exemple sera suivi par beaucoup d’autres français et que cela les convaincra de dénoncer leurs enfants, leurs parents, leurs amis, leurs voisins… afin que l’on puisse leur injecter en 3, 4, 5, 10 fois s’il le faut le miraculeux traitement ARN. D’ailleurs, comment appeler « vaccin » un produit qui ne protège pas à 99% au bout de 3 injections ?

Et puisque le quotidien de 90% de français « responsables » est pourri par 10% d’irresponsables, est-ce que la majeure partie de ces effectifs ne serait pas justement composé de personnes délibérément exonérées de vaccination par Castex lui-même ? A savoir les policiers, enseignants, routiers, sans oublier les parlementaires et les politiques sensés donner l’exemple.

Et pourquoi pas des camps d’isolement comme en Australie pour les réfractaires irresponsables qui préfèrent écouter quelques prix Nobels complotistes qui doutent de plus en plus de l’intérêt de vacciner massivement les personnes « non fragiles », mais sujettes aux myocardites pour les plus jeunes (et les plus sportifs).

Ce risque d’incidents cardiaques « rares », mais 100 fois plus fréquents qu’avec tous les autres vrais vaccins dont l’efficacité a été vérifiée sur des décennies, fait désormais l’objet d’avertissements officiels des autorités de santé au Japon. Un pays de fous qui ne fait donc plus une confiance aveugle au vaccin après avoir maintenu des jeux olympiques sinistres et sans aucune convivialité vu la paranoïa sanitaire du gouvernement l’été dernier, alors même que la courbe des contaminations était écrasée, comme tous les étés au Japon pour n’importe quel virus.

Oui, les « irresponsables » sévissent partout. Et cela justifie des mesures de freinage qui se multiplient chez nos voisins partout en Europe : confinement et couvre-feu strict aux Pays Bas, au Danemark, horaire de couvre-feu avancé au Royaume-Uni et en Irlande… et qui sait ce qui nous attend en France au lendemain de Noël, ou au plus tard le 5 janvier ?

Notons au passage que les fondements de notre démocratie ont déjà volé en éclats dès les premiers confinements, que la totalité des articles du Code de Nuremberg sont violés de façon systématique et répétée par la plupart des gouvernements européens (et en France depuis le 12 juillet dernier).

Mise à mort de l’économie via le pass vaccinal…

Si la mort sociale de 6 millions de « non-vaccinés » est définitivement prononcée début 2022, ce sera peut-être un peu difficile de maintenir le rythme de croissance de la France à +6,7%.

De nombreux ministres s’en sont gargarisés toute la semaine, oubliant de rappeler les -8% de 2020 et que la France était une queue de peloton européen en 2019 avec 1,5% de croissance, après 1,8% en 2018 et 2,3% en 2017… Comment interpréter cette décrue inexorable de la « start-up nation » depuis 2017 ?

Prudente, la Banque de France a très légèrement abaissé ce dimanche sa prévision de croissance de l’économie française pour 2022, de 3,7% à 3,6% (contre +4% pour le gouvernement) et précise que « l’activité devrait rester solide ».

Et comme cela ne coûte rien de prédire un avenir radieux sur fond d’injection ARN tous les 3 ou 4 mois, la Banque de France relève sa prévision de croissance 2023 de +1,9% à +2,2% en 2023 : ceci permettrait de renouer avec le rythme d’avant crise d’ici 2024.

Un des principaux moteurs de la croissance, c’est l’expansion démographique : je me demande si l’instauration d’une atmosphère néo-totalitaire exécrable en France et dans d’autre pays, avec un climat nauséabond fait de mensonges officiels permanents, d’injonctions contradictoire (c’est en réalité une stratégie de sidération des masses très bien rodée) de surveillance/répression, de délation, avec l’éclatement des familles entre pro-Vax et vaccino-septiques.

Notons que si les vaccinés veulent sauver des vies, alors qu’il y a 99,98% de taux de survie au Covid-19 pour les moins de 75 ans sans vaccin, beaucoup déclarent souhaiter l’éradication (souvenez-vous de l’extraordinaire lapsus du député LREM Bruno Bonnel sur BFM ce 18 décembre dernier au sujet des vaccinés) ou même la mort des non-vaccinés… ce qui ferait alors disparaître des millions de gens en France et des milliards en Asie ou en Afrique.

Du coup, veulent-ils sauver des vies… ou leur survie s’alimenterait-elle surtout d’un espoir génocidaire de disparition des autres perçus comme des menaces ?

Est-ce qu’un monde aussi menaçant est propice à un projet d’enfant, qu’il faudra piquer, encore et encore, contraindre à porter un masque à la maternelle, à l’école, au parc d’attraction, au cinéma… et qui surtout, malgré ses 12 injections et rappels au bout de 3 ans, devra se tenir loin de papy et mamy (15 injections) à Noël, de peur de les tuer comme nous l’explique le sympathique néphrologue Gilbert Deray, « médecin de plateau » pourri de conflits d’intérêts avec les labos, à qui l’on doit – entre autres lubies mortifères – l’invention de l’Alzheimer des enfants atteints du Covid-19. Cela n’empêche pas les chaînes de TV de le réinviter, tandis que les vrais infectiologues qui connaissent le sujet sont totalement bannis !

Que les marchés qui avaient réussi à digérer une inflation passant de +1,4 à +6% en un an se sentent un peu mal à l’aise face à l’évolution (ou plutôt la dérive totalitaire) de la lutte contre le Covid-19 se saisissent de l’occasion pour consolider n’est donc guère surprenant.

2 commentaires

  • Avatar jjnicole dit :

    LE CLIMAT SANITAIRE SE DÉGRADE…

    bravo… excellent article… il y a encore un français qui ose appeler un chas.. un chas…

    eh oui il devient de plus en plus difficile de lutter contre cet hypnotisme de masse maintenu par les gouvernements… les docteurs (petit d) et les élites…

    que la Lumière, la Force et le Courage continuent à vous habiter…

    jj

  • Avatar PP dit :

    Merci pour cet article…

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