14,1 milliards d’euros pour construire quatre centrales nucléaires aux Emirats arabes unis, l’enjeu était de taille et le contrat fort alléchant. Face à un consortium français réunissant Areva, Alstom, EDF, GDF Suez, Total et Vinci, c’est finalement le sud-coréen Kepco qui rafle la mise. C’est un sévère revers pour le nucléaire français et sa technologie EPR. Alors que d’autres contrats se dessinent, la filière nucléaire française devra nécessairement revoir sa stratégie et son mode d’organisation.
Nucléaire ─ 28 déc. 09 / 17h15
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