Vous le savez : en dehors des banques grecques, les principales banques détentrices de dettes des pays périphériques sont les banques allemandes à hauteur de 20% et les françaises, évidemment, qui en détiennent 30%. Ces dernières ont d’ailleurs communiqué qu’un défaut global sur la dette grecque était gérable et représenterait une perte sèche de l’ordre de 8 milliards de dollars (Md$) dans leur compte. Sans doute.
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