Le parti pris d’aborder l’étude d’une valeur par le biais de l’analyse technique n’interdit pas de s’intéresser aux paradoxes.
Il est par exemple de notoriété publique que le secteur de la chimie est particulièrement vulnérable aux ralentissements conjoncturels qui affectent les marges et les volumes. De Rhodia à Dow Chemical, en passant par Bayer ou BASF aucun de ces groupes n’a été épargné par la crise. Logique si l’on considère qu’ils sont à l’avant-poste de la demande industrielle mondiale. Ils ont donc subi de plein fouet le ralentissement de la demande et ont publié, tout au long de 2009, des résultats en baisse.