Eh bien, Dubaï sème le trouble. Est-ce là le coup fatal que nous attendions sur les marchés ? Rien n’est moins sûr. Car n’oublions pas : les marchés ont tendance à aimer les catastrophes ces temps-ci. Un peu comme quand vous vous régalez de la fin du monde en allant voir 2012 au cinéma (si vous ne vous endormez pas pendant, vous vous êtes régalé). Eh oui, une catastrophe d’une telle ampleur, c’est toujours signe de liquidités abondantes pour les semaines à venir. Reste à trouver l’arche qui vous permettra de flotter.
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