La division par 2 du taux de croissance de l’économie américaine de 5% vers 2,6% ne cause guère d’émoi à Wall Street : personne n’a jamais cru que le PIB ait pu grimper de +5% au 3ème trimestre.
En revanche, et plus inquiétant pour les entreprises américaines, la composante consommation est en contraction au 4ème trimestre (au lieu de l’orgie attendue de dépenses) et cela corrèle effectivement ce sondage réalisé début novembre et qui révélait que 8% seulement des américains comptaient accroître leurs dépenses, et ce malgré la forte baisse des prix à la pompe.